• Chères lectrices, chers lecteurs,


    Il n’y a pas si longtemps, je vous proposais de déguster une fondue de fromage accompagnée d’un bon vin cacher, vu le désespoir qui m’habitait de ne pas voir le beau temps arriver. Une chose qui semblerait aujourd’hui bien folle, vu que l’été a décidé de pointer le bout de son nez, de son gigantesque nez bien brûlant, j’ai envie de dire ! Plus question depuis quelques jours de manger une quelconque nourriture qui dépasserait les 20°C, histoire de tempérer l’organisme de l’intérieur. Mais cela ne signifie pas pour autant qu’il faille faire une croix sur le vin, au contraire !


    C’est ainsi l’occasion, sous les rayons ardents du soleil, de sortir le seul Yayin Mévushal que Un rosé moelleux pour des apéritifs sans finje boive, le Muscat de  Hambourg Jérusalem Hills. Un Yayin Mévushal, pour ceux qui ne sauraient pas, est le vin cacher typique, moelleux et bien sucré. De par cette nature liquoreuse, il est difficile à assembler avec les mets, du moins il ne fait pas bon ménage avec tout. L’été, comme il fait chaud, et cette fois-ci très chaud, je le sers très froid et du coup, cela accompagne à merveille les apéritifs dinatoires. En effet, je trouve que boire un alcool sucré, ou un cocktail, coupe plus vite l’appétit, alors ce rosé n’est pas à servir pour un repas traditionnel en trois ou quatre services.
     

    J’apprécie d’autant ce vin qu’il est produit en Israël et que c’est un rosé moelleux, donc qui apporte des touches de pêches et de litchis, quand un blanc moelleux explose de fleurs blanches. C’est donc une nouvelle palette aromatique qui s’offre à vous avec ce Jérusalem Hills Muscat de Hambourg Rose Moelleux 2012, trouvé sur une boutique pour acheter du vin en ligne.
    À bientôt pour de nouvelles préférences œnologiques !


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  • Chères lectrices, chers lecteurs

    On n’arrête pas le progrès ! Je viens de découvrir que la grande maison champenoise Champagne rosé, l’autre champagneLaurent-Perrier, qui nous honorait déjà d’un champagne cacher des plus fins, produit également du champagne cacher rosé, le Champagne Laurent Perrier Rosé "Kasher". En quoi est-ce si important, pensez-vous ? Et bien il se trouve qu’il existe tout un débat sur le champagne rosé, et en tant qu’amateur je me dois d’y ajouter mon grain de sel.

    Certains d’entre vous s’en rappellent peut-être, une chanson d’Helmut Fritz sortie en 2009 disait « Ça m’énerve… Toutes celles qui boivent le champagne rosé » et bien figurez-vous qu’il n’y a pas que lui que ça énerve. Il n’est pas rare, lors d’une soirée ou d’une fête, que les convives apportent une de ces bouteilles rosées (souvent les marketeurs soulignent bien ce trait de caractère avec un packaging rose) ou que les maîtres de maison en aient dans leur cave. En général, le moment du champagne venu, on propose les deux couleurs, car sait-on jamais qu’il y ait dans l’assistance un de ces pointilleux pour qui « le champagne rosé, ce n’est pas du champagne. » Et là, j’ai envie de dire : mais pour qui se prend-on ?

    Champagne rosé, l’autre champagne

    Les plus grandes maisons de production de champagne, en Champagne, mettent tout leur savoir-faire et leur amour dans l’élaboration de ce breuvage, mais il faut toujours un petit malin (souvent né de la dernière pluie) pour y trouver à redire. Certains producteurs y travaillent depuis plus d’un demi-siècle, et cela n’aurait point de valeur ? Il ne s’agit pas de colorant dans du brut, que diable ! mais d’assemblage de vins rouge et blanc « une dizaine de crus, majoritairement des grands crus, provenant principalement des secteurs Sud et Nord de la montagne de Reims » pour le Laurent-Perrier, à savoir les crus d’Ambonnay, de Bouzy, de Louvois et de Tours-sur-Marne (secteur sud) Verzenay, Verzy et Mailly (secteur nord). Si le petit malin connaissait ne serait-ce qu’une qualité d’un de ces crus, cela ferait avancer le débat. Mais souvent, il se contente de dire qu’un champagne, c’est blanc et puis c’est tout. Vous voyez le niveau.

    Bref, tout cela pour dire que j’y trouve de grandes richesses dégustatives, dans un champagne rosé, qui sont très différentes d’un blanc. Autant qu’entre un vin blanc et un vin rosé en somme.


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  • Chères lectrices, chers lecteurs,

    Comme son nom l’indique, mon blog doit vous aider à comprendre ce qu’est un vin cacher, en plus de vous trouver des bons plans pour en acheter en ligne. Certaines personnes sont encore sceptiques sur la qualité des vins cashers, alors que cela fait des millénaires que cela se produit, c’est dans la Genèse ! Plus prosaïquement, la production de vin selon la cacherouth s’est grandement développée ces dernières décennies, en France comme partout dans le monde, principalement aux USA et en Israël.

    Le vin cacher, comment est-il produit ?

    Pour qu’un vin soit considéré propre à la consommation des pratiquants de la religion juive, il y a quelques règles à suivre, pas si complexes que cela. D’abord, il faut savoir que la cacherouth bannit certains aliments du régime juif, or aucun de ces ingrédients exclus n’entre dans la composition d’un vin, quel qu’il soit. Donc de base, par nature, le vin est cacher. Mais il y a des petites nuances encore pour que le breuvage soit sûr. Le vin ne doit pas avoir été versé à une idole, ni touché par quelqu’un qui idolâtre, mais cela n’entre pas en considération pour le vin cuit, qui est et restera toujours cacher. Dernièrement, il a été imposé de faire participer au moins une personne de religion juive au processus de production pour considérer le vin comme casher et lui faire obtenir le certificat officiel.

    Si les plus anciens crus cachers sont plutôt des vins sirupeux, identifiant ce type de vin comme plaisant aux juifs, il existe aujourd’hui des cépages de toutes sortes qui sont certifiés cachers, heureusement pour les amateurs de bons vins comme moi. Personnellement, j’apprécie moins les vins sucrés et je préfère un bon rosé bien frais et sec au meilleur des yayin mevushal (vin cuit) américain.

    Et vous, que préférez-vous dans les désormais nombreux et répandus vins cachers ?


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  • Chers amis,

    Voilà que le beau temps pointe finalement le bout de son nez. Enfin, il ne faudrait pas le dire trop vite, au risque de le voir encore une fois nous échapper, jouer à cache-cache Le rosé de l’étéderrière les nuages, comme il le fait depuis un bon mois sur tout le pays. Profitons-en donc, tant qu’il y a un rayon de soleil, pour sortir de la cave, apprêter et installer les accessoires estivaux. J’entends par ceux-là la table de terrasse, les verres et le vin rosé, celui qui sied le mieux à l’été. Du vin cacher évidemment.

    Il se trouve qu’en visitant le site qui vend du vin cacher en ligne, j’ai trouvé deux petits rosés bien sympathiques : Madame Rose 2010 et Diane de Vernay Rosé 2011 « Vendanges Manuelles ». J’ai choisi le second car j’ai un faible pour les rosés à la robe pâle et je m’insurge immédiatement contre ceux qui qualifient cela de féminin. À mon goût, un vin rosé doit avoir une teinte claire. Les rosés rose profond sont plutôt des vins de tables avec plus de corps, certes, mais moins raffinés. Il ne manque plus qu’il soit conditionné en cubi et c’est le pompon !

    Le rosé de l’étéC’est une espèce de rituel, la dégustation d’un rosé bien frais pour contraster avec la chaleur ambiante. Pour les mêmes raisons qui me font préférer un vin rosé clair, c’est-à-dire qu’il s’agit d’une expérience de dégustation plus qu’un simple apéritif, je ne mets pas de glaçon dans le vin. En effet, cela le dilue et il perd alors tous ses arômes si délicats. Il existe tant de façon de conserver un vin bien frais, il serait dommage d’en gâcher tout l’intérêt et le travail du producteur...

    Je vous laisse à votre terrasse en attendant ma prochaine découverte de vin cacher !


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  • Bonjour à tous,

     

    Même si le beau temps semble décidé à nous honorer enfin de sa présence, il reste dans le fond de l'air une fraîcheur persistante. Je n'ai ainsi pas été étonné lorsque, invité chez des amis, j'ai pu trouver au menu une fondue savoyarde ! Oui, au mois de mai ! Somme toute, celle-ci m'a réellement fait plaisir, il ne devrait pas y avoir de saison pour en manger.

    Surtout que mes hôtes ont accompagné ce divin repas avec un vin blanc cacher, plus précisément celui-ci: Recanati Special Reserve Blanc 2010 cacher. Le vin blanc est incontestablement l'ingrédient indispensable à un repas à base de fromage. Ce vin, aux reflets dorés, possède une incroyable longueur en bouche. Absolument divin et léger, il est idéal pour un repas gras et lourd comme la fondue savoyarde car il impose un agréable constraste.

    Charmé, j'ai décidé d'acheter vin cacher en ligne comme à mes habitudes et je me languis de son arrivée. Je vous le garantis mes amis, la fondue savoyarde n'a pas pris une ride !

     

    Je vous rappelle, par simple conseil d'ami, que le vin rouge n'est pas recommandé pour ce type de repas. Il enlève tous les arômes du fromage et perd toute sa saveur. Non, je suis formel: fromage fondu et vin blanc font de loin le plus beau mariage. Feu d'artifice en bouche, c'est un réel plaisir de retrouver ces ingrédients autour d'un repas entre amis.

    Pour avoir plus de choix, n'hésitez pas à consulter vin blanc en ligne sur un site spécialisé. Pour l'instant, jamais je n'ai été déçu; mais comme le risque zéro n'existe pas, je reste attentif et vous tiens informé de tout.

    Sur ce, je vous souhaite une agréable fin de semaine.

     

    Serge

     


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